Mardi 9 décembre 2008, Portugal, l’ordinaire de l’extraordinaire

Sur la couverture du livre, une sorte de canard ou bien une oie à crête de coq nous regarde, dressé(e) sur quatre pattes. La description aura sans doute de quoi surprendre tous ceux qui ne verront pas la photographie de l’œuvre. A l’intérieur de l’ouvrage j’étais persuadé qu’il y avait également des photographies. Mais en … Lire la suite Mardi 9 décembre 2008, Portugal, l’ordinaire de l’extraordinaire