Je n’achète que rarement des romans américains. Sans doute parce qu’au-delà du plaisir de lire et de découvrir, je veux d’abord combler tous les manques que j’éprouve et combattre les reproches que me fais, d’être resté dans l’ignorance totale de pans entiers de la littérature de l’Est ou du Nord de l’Europe. Mais le roman … Lire la suite Mardi 10 juin 2008, Luxembourg : un botaniste à ma porte
